Principale donnée probante : Moins de la moitié des enfants nés à l’étranger et vivant en Nouvelle-Zélande possédaient des dossiers de vaccination dans le Registre national de vaccination (comparativement à 95-96 % des enfants nés en Nouvelle-Zélande de mères migrantes ou non migrantes), et ceux ayant un dossier présentaient des taux de vaccination adaptés à l’âge considérablement plus faibles que les enfants nés sur place (p. ex., 69 % pour le ROR contre 82 à 83 % pour les enfants nés sur place et 53 % pour la coqueluche contre 78 à 81 %), avec notamment des taux particulièrement réduits chez les enfants réfugiés. Ces résultats mettent en évidence les difficultés à conserver des traces des vaccinations administrées à l’étranger et à atteindre les enfants migrants pour les faire bénéficier des services de vaccination, ainsi que l’importance de la surveillance de la couverture vaccinale selon l’origine migrante et réfugiée.